GMF et les parcs nationaux célèbrent la semaine prochaine les dix ans de leur partenariat, en signant une nouvelle convention pour trois ans.
Si, à Vallouise ou à La-Chapelle-en-Valgaudemar les maisons du parc (il s’agît du parc national des Ecrins) sont accessibles et fonctionnelles pour les personnes souffrant de handicaps divers, c’est grâce au mécénat de la GMF. Si, dans le parc national des Pyrénées, le bouquetin ibérique a pu être réintroduit avec succès, c’est aussi avec l’appui de la GMF. Et si les parcs nationaux peuvent accueillir des jeunes en service civique, ou si le Parc amazonien de Guyane a réalisé une série de 4 affiches thématiques mettant en valeur les arts et les pratiques culturelles des différentes populations du territoire (le ciel de case Wayana, les pirogues et pagaies du Haut-Maroni, la vannerie dans la transformation du manioc, la poterie Wayana et Wayãpi), c’est encore avec la complicité de la GMF.
Conclu il y a dix ans, l’accord de mécénat entre l’assureur (« assurément humain ») et les dix parcs nationaux a permis la réalisation de 80 actions concrètes dans les parcs nationaux, et couvre 3 objectifs : faciliter l’accès aux territoires des parcs et à la connaissance de la nature pour tous, en particulier aux personnes en situation de handicap ; valoriser l’accessibilité sociale aux territoires ; oeuvrer à l’amélioration de la connaissance de la biodiversité et à sa préservation.
Le 11 avril, une nouvelle convention-cadre de mécénat, couvrant les trois mêmes objectifs, sera conclue pour la période 2018-2020, sous l’autorité de l’Agence française pour la biodiversité, à laquelle sont désormais rattachés les parcs nationaux.