Onze associations ont obtenu leur agrément au titre de la protection de l’environnement, portant à 30 le nombre total des ONG agréées.
Onze associations viennent d’obtenir par arrêté ministériel leur agrément quinquennal au titre de la protection de l’environnement au plan national. Il s’agit de Ferus, de l’Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas), de l’Association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturne (Anpcen), de Greenpeace France, de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad), de Mountain Wilderness France, de l’Humanité et biodiversité, du Réseau Action Climat (RAC) France, de Surfrider Foundation Europe, de Robin des bois et de l’Union nationale des centres permanents d’initiatives pour l’environnement (UNCPIE). Ces associations rejoignent les 19 autres ayant déjà obtenu leur agrément entre 2017 et 2018 : l’Association nationale pour la protection des eaux et des rivières (ANPER), le Comité français de l’union internationale pour la conservation de la nature (UICN), France Nature Environnement (FNE), la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), Les amis de la terre, le Fonds d’intervention éco pastoral Groupe ours Pyrénées (FIEP), la Société herpétologique de France (SHF), la Société de protection des paysages et de l’esthétique de France (SPPEF), la Société nationale de protection de la nature et d’acclimatation de France (SNPN), l’Office pour les insectes et leur environnement (OPIE), la Société française pour le droit de l’environnement (SFDE), la Fédération des conservatoires d’espaces naturels (FCEN), Patrimoine environnement, la Fédération française de spéléologie (FFS), Générations futures, le Réseau sortir du nucléaire (RSN), la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Pour Rassembler Informer Agir sur les Risques liés aux Technologies ElectroMagnétiques (PRIARTEM) et l’Union française des centres de sauvegarde de la faune sauvage (UFCS). L’agrément permet notamment aux associations de s’opposer facilement à une décision publique portant atteinte à l’environnement en déposant un recours devant la justice.